466 jours
Et soudain hier, le 466e jour du génocide est devenu le 1er jour de la paix. Le cessez-le-feu était attendu. Je ne veux pas m'exprimer en longueur sur ses conséquences. Je veux dire maintenant ce que ces 466 jours ont été et ce qu'ils sont d'appuis pour la suite. Du 7 octobre au génocide Les vidéos du 7 octobre m'ont marqué à vie. Les images de cette femme trainée derrière un 4x4 du Hamas, battue, sont toujours dans mon esprit. Dès après, j'ai même tweeté, le 9 octobre: "Comment relativiser les pogroms et la barbarie des meurtres à bout-portant comme des actes de résistance ? Une vie palestinienne vaut une vie israélienne, et cela vaut dans les deux sens". Je ne retire rien à cette émotion mais je reviens désormais sur le "pogrom". Si atroces soient-elles, les exactions du 7 octobre n'ont avec le recul rien du pogrom. Ce terme historique définit une situation d'attaque d'une majorité sur une minorité, comme ce que certains...